Bonjour,
Je souhaitais partager mes réflexions du moment :
Mon contexte institutionnel : les département du Bas-Rhin et du Haut-Rhin ont fusionné au 1/1/2021 pour former la Collectivité européenne d’Alsace).
Promoteur de QGis dans ma collectivité d’origine (département du Bas-Rhin) depuis maintenant plus de 10 ans, le logiciel est bien implanté et constitue le client lourd SIG de référence :
· 130 postes équipés avec des niveaux d’utilisation très variés.
· Développement interne plugins, scripts
· Mailing list interne
· Ateliers techniques réguliers (en stand-by depuis le début de la pandémie)
Qgis était également au catalogue du Haut-Rhin, mais le porteur du projet ayant quitté la collectivité depuis 3 ans, son usage était tombé un peu en déshérence (solution propriétaire Esri bien implantée).
En parallèle je constate que mon organisation a intégré et oublié les coûts cachés de l’usage d’un produit OpenSource. Le projet est en quelque sorte invisible, car pas ou très peu d’incidence budgétaire (pas de maintenance, etc…).
Ce double constat m’amène au questionnement suivant :
Comment (re)faire prendre conscience aux décideurs de l’importance de la charge de travail à suivre un projet OpenSource (technique, veille, communication,…) ?
Au-delà , je me demandais si la solution ne pourrait pas résider pour partie dans la participation active au projet, dans sa déclinaison francophone.
Cordialement
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Sylvain PIERRE Chef de projet système d’information Direction des Systèmes d’Information et du Développement Numérique Service Projets et Ingénierie Numérique Collectivité européenne d’Alsace Tél : 03 88 76 68 88 sylvain.pierre@alsace.eu www.alsace.eu |
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